Dans le massif de l'Aigoual, aux confins du Gard et de la Lozère (et je précise aussi "non loin de l'Aveyron", sinon le druide va râler ) coule un ruisseau appelé le Bonheur.
Près de Saint-Sauveur, le Bonheur disparaît dans un gouffre : c'est le lieu dit "la perte du Bonheur"
-1- Le Bonheur...
-2- court à sa perte
Le Bonheur ressurgit quelques centaines de mètres plus loin (et bien plus bas), mais sous le nom de Bramabiau, dans l'abîme du même nom.
Le Bramabiau continue sur quelques km avant de se jeter dans le Trèvezel, qui quelques km plus loin se jette dans la Dourbie, laquelle conflue à Millau avec le Tarn, principal affluent de la Garonne. Nous sommes donc bien dans le bassin versant de l'Atlantique, mais non loin de la ligne de partage des eaux (la source du Bonheur est à moins de 5 km d'ici, et à 500 m de celle de l'Hérault)
-3- Le dénivelé d'une grosse centaine de mètres entre le sentier et l'abîme
(assemblage de 2 images superposées à 9mm)
Un peu en aval, le sentier franchit le Bramabiau au Pont de l'Âne, au confluent du valat de la Fonderie.
-4- En remontant le valat...
-5- un joli petit pont de pierre.
-6-
E-M10, zoom 9-18mm, fusions d'expositions sur trépied.
ISO 200, autres données très variables selon les images, du filtre (polarisant ou ND64) à l'ouverture (f/5,6 à f/16) en passant par le temps d'exposition (entre 1/10s et 40s) et la focale (9, 15 ou 18mm).