Forum Olympus France

quel flash cobra me conseillez vous avec télécommande sans fil ( j'ai un jeu cactus v5) avec mon EP5; mon but prendre des réalisations (amateur) dans un atelier associatif d'objet réalisé ( aquarelle,huile... marqueterie de paille... peinture sur porcelaine.....etc;  avec 1 pied pour le flash , diffuseurs (maison)....

la marque Yongnuo est- elle compatible avec EP-5  et les cactus v5..

merci ... c'est pour faire un catalogue des activités "artistiques "

J'ai pas la réponse mais un petit

une réponse va surement venir !!!

pylic2

Je n'ai pas non plus réponse à ta question.

Mais j'ai trouvé ce site ICI

dans la page on y trouve :

[... Yongnuo existe depuis près de 10 ans, et propose une large gamme de produits d'éclairage, compatibles multi-constructeurs (Canon, Nikon, Pentax, Olympus), ...]

et en bas de la page un numéro de tel et un Email pour les contacter.

A ta place je leur passerai un petit coup de fil, ou un message, pour poser la question.

PS : le message est préférable, car une réponse écrite de leur part les engagerait

un grand merci pour ton aide, j'ai envoyé un mail à Lovinpix;    les prix semblent très intéressants je te tiens au fait de leur réponse

• voici la réponse reçue ,

 
Mathieu (Lovinpix)
12 févr. 13:09

Bonjour,

Dans ce cas je vous recommande le YN560 compatible toute marque, car pour olympus nous ne proposons pas de flash avec automatismes (TTL/HSS)
http://www.lovinpix....&fast_search=fs

Voici quelques solutions de support :
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Cordialement,
Donc que pour en manuel, est-ce un inconvenient ??

Bonjour.

La reproduction de tableaux, de porcelaine (bref de divers métaux qui réagissent de façon très différente à la lumière), je suis frileux d'utiliser un flash cobra, mais si tu as fabriqué un diffuseur, c'est que déjà tu as compris l'importance de traiter la lumière.

Oui : si tu utilises un trigger, avec Olympus il n'y aura pas de TTL mais la TTL est totalement inutile pour ce genre de travaux et même préjudiciable. Je pense même que le principe de faire communiquer ton Olympus Pen avec ton flash via les longueurs d'ondes radio est excellent, comme ça, on ne verra pas le pré éclair (contrairement à la communication wireless à savoir via ton petit flash incorporé).

Tout flash cobra peut convenir à partir du moment où celui-ci a un vrai réglage manuel te permettant de fractionner sa puissance et de doser ta lumière. Les ondes radios permettent d'assurer la communication même si flash et boîtier ne sont pas compatibles directement. ça va donc faire comme un interrupteur t'obligeant à te déplacer régulièrement auprès de ton flash de façon à le régler à nouveau.

Si tu devais manquer un peu de puissance avec ton flash, souviens-toi que la valeur d'ouverture et la sensibilité influent sur la portée de l'éclair via la formule :

Distance en mètre = Nombre Guide/ Ouverture.

Et aussi par :

Quadrupler la sensibilité = doubler la portée de l'éclair.

Par exemple : N.G. de 36 / ouverture de f/4 = 9 mètres de portée pour 100 ISO et 18 mètres de portée pour 400 ISO.

Naturellement, comme tu as un diffuseur, cette méthode de calcul est faussée de par le fait que plus tu agrandis ta lumière, et plus la portée de l'éclair s'en avère restreinte.

Mais par contre, cela permet tout de même de voir que le diaph et l'amplification sont susceptibles de t'aider permettant d'éviter de travailler avec le flash à pleine puissance (économie des piles par exemple et de meilleurs temps de recharge).

En terme de compatibilité, contrairement à Sony, Olympus a une griffe de taille normalisée ce qui permet d'accepter l'ensemble des triggers. Moi je suis sur SMDV, mais tu as des choix plus économiques (avis aux utilisateurs de ces systèmes plus économiques). J'ai d'ailleurs vu un sujet récemment sur F.O.F. où une personne semblait utiliser régulièrement des systèmes moins dispendieux.

Cordialement.

tout d'abord merci pour ta réponse très explicite et utile pour ce que je veux faire. ton explication sur la distance m'apporte une réponse précise sur ce que j'avais remarquée.

une question: me faut-il avoir de préference une boite à lumière softbox (60x90) ou un parapluie sachant que les locaux associatifs ont des éclairages épouvantables (tubes fluo.)

tout d'abord merci pour ta réponse très explicite et utile pour ce que je veux faire. ton explication sur la distance m'apporte une réponse précise sur ce que j'avais remarquée.

 

une question: me faut-il avoir de préference une boite à lumière softbox (60x90) ou un parapluie sachant que les locaux associatifs ont des éclairages épouvantables (tubes fluo.)

Bonjour.

Désolé pour mon retard...

Alors pour tout ce qui concerne travaux en nature morte, je n'ai pas le moindre doute sur le fait de préférer la softbox au parapluie car si la softbox présente l'inconvénient davantage de temps de préparation, elle est plus précise, tandis que le parapluie se prêtera davantage aux portraits par exemple.

Avec le parapluie, tu agrandis ta lumière mais la précision reste limitée, tandis qu'avec une boîte lumineuse tu agrandis mais on peut beaucoup l'axer avec précision.

Après, dans le cadre de photographie de tableaux, le problème vient de l'emplacement de cette lumière. Je te conseille d'augmenter ta focale, de prendre du recul, et de placer la boîte sur un côté pour éviter les réflexions directes engendrées par certaines brillances. Si ta lumière est trop proche de toi, et s'il y a un poli un peu trop brillant, paf ! ça va te retomber dessus. Plus tu es proche, et plus il te faudra placer la boîte sur un côté extrême (après au risque de donner une lumière disproportionnée).

L'idéal serait de pouvoir décider la lumière de la pièce du début à la fin ce qui comprend la lumière venant de la fenêtre, et personnellement, je me demande si un éclairage continu n'aurait pas été préférable (l'inconvénient de tout flash étant encore de ne pas pouvoir voir par avance et donc l'obligation de planifier).

J'ignore tout de l'éclairage de l'endroit où tu te trouves, mais ce que je peux te dire c'est qu'en utilisant des lampes flashs (petites cobras ou flash de studio), leur température respective est d'environ 5400 K° (comme la lumière du jour). Or, c'est vrai que si les lumières de la pièce sont à une autre température de couleur, ou bien que d'une façon ou d'une autre elles polluent la scène, ça devient vraiment problématique. Le flash étant plus puissant, il devrait couvrir cette lumière mais compte tenu de la boîte de 60 X 90 et de l'éloignement...

Remarque : tu peux savoir à quelle température sont les loubardes présentes dans la pièce avec un papier blanc A4. Tu le mets sous une lumière et avec le Live View tu règles la balance des blancs jusqu'à ce que la papier soit blanc. Dès qu'il est blanc, tu as la température de couleur de l'éclairage en question indiqué sur ton E-P5.

Ah non mais c'est difficile l'éclairage photographique. Moi par exemple, en nature morte, j'en fais entre autre sur la matière du verre, et ce n'est pas plus simple. Je dois laisser la lumière passer là où elle doit passer et l'arrêter là où elle ne doit pas passer. Quand j'utilise un flash cobra via trigger, dans mon salon, je prends une lampe de poche que j'éteins juste avant le déclenchement.

Avec mon éclairage continu, c'est déjà moins casse margoulette ^^

Cordialement.

il n'est jamais trop tard,merci pour tes explications,;   dans les expo associatifs ( expo des œuvres des élèves )  l'ensemble des œuvres est fixé sur des grilles ou mur donc prise de vue en cadrant chaque œuvre avec les éclairages variable suivant les emplacements = impossible d'utiliser dans ce cas la softbox . = flash cobra pour contrer les lumiéres parasites;;;merci pour la bdb ; par contre tes explications  pour photographier des marqueteries (taille A4 ) vont mettre utile ; il me reste à expérimenter.

L'idéal serait de pouvoir bénéficier d'une autorisation de pouvoir réaliser tes clichés à des horaires de fermeture par exemple.

Sinon, effectivement, si ce sont de petits couloirs avec des grilles, le recul nécessaire pour les tableaux ne peut pas se faire, et petit à petit on arrive à une situation critique.

Attention par contre à l'emploi du flash sans softbox et placé sur l'appareil parce qu'effectivement si avec un modèle compatible, tu l'utilises sur ta griffe, tu arriveras bel et bien à éliminer les lumières parasites en dosant la portée du flash, mais le gros problème restera :

1 - son emplacement (bien trop proche de l'axe optique),

2 - la très faible dimension de la lumière qu'il va produire (éclairage non homogène pour le tableau) avec le risque de voir l'éclair sur celui-ci vu que tu n'es pas loin.

La porcelaine ?! Mais c'est encore pire qu'un tableau ! Je crois que ça répond au domaine du métal... Avec une loubarde, il produit ce que l'on appelle les réflexions spéculaires (qui se renvoient avec "la même intensité que la source"). En clair, avec n'importe quelle petite lumière (en plus juste sur l'appareil), tu auras cette réflexion. C'est exactement la même chose que lorsque l'on voit le soleil au travers d'un rétroviseur par exemple. Il y a tellement de facteurs qui jouent (l'emplacement de l'observateur, l'emplacement et taille de la lumière...). Et ne comptes pas sur un filtre polariseur car il ne t'enlèvera pas ce type de réflexions. Il n'enlève que les réflexions polarisées.

Dans ces conditions, sans arrangement avec l'équipe pour qu'elle éteigne certaines lumières, si les tableaux ont déjà un éclairage assez homogène, peut-être vaut-il mieux s'abstenir de l'utilisation d'un flash.

Tout dépend de la lumière principale. Si elle est mauvaise et que l'on ne peut pas l'enlever, on ne peut rien faire. C'est un peu le cas avec le soleil qui cogne. Il est très difficile de rattraper le coup après (même avec un éclairage de fill in par réflecteur individuel ou flash). Si par contre, le ciel est couvert, les nuages vont agir comme un gigantesque diffuseur et tu as ta scène éclairée de façon homogène ce qui facilite grandement l'exposition.

Cordialement.