Ancienne photos de famille
tasmanian 30 déc. 2014
1- Une partie du clan, en automne 1967. Ma grand-mère au centre, mon père accroupi à droite et moi au centre sur mon premier orignal. Je l'ai abattu avec mon père en revenant de lever les colets à lièvre. J'avais 9 ans.
2- Idem, en 1972. Dernière photo de ma grand-mère. Elle se tient après mon oncle pour ne pas tomber...C'est moi qui a pris la photo.
3- Mon grand-père et mon oncle Adélard, en 1948.
4- Ma grans-mère (Délia Bouchard à la naissance) et son frère Napoléon communément appelé mon oncle Poléon
5- L'ancien camp de chasse en 1950.
6- Construction du nouveau camp de chasse en 1958, année de ma naissance.
pb2n 30 déc. 2014
Ce sont ces photos qui ont le plus de valeur pour un photographe, AMHA
pb2n 30 déc. 2014
En effet, après plusieurs années dans une boîte, ces photos prennent un sens nouveau et font partie de la petite histoire populaire d'une famille
Au dos des photos papiers il faut noter les dates et les noms des personnes, voire le lieu de la prise. Très utile pour les descendants
Philooo 30 déc. 2014
Sont-elles encore couramment portées chez vous, ou définitivement passées de mode ?
VAN BAY 30 déc. 2014
cela ne risque pas de m'arriver, les plus vieilles sont celles que j'ai fait, l'héritage photographique ancestrale c'est égaré dans les tourments de la vie
romories 30 déc. 2014
olyerit 02 janv. 2015
Crisco 04 janv. 2015
Non, je respecte celles et ceux qui chassent en communion avec leur proie… mais cela me navre même si c'est nécessaire et que je suis un bouffeur de viande
Une belle série de photo qui font la famille, les joies et les peines mais surtout qui gardent vivant dans nos coeurs, celles et ceux partis plutôt.
Merci pour ce partage l'ami
tasmanian 04 janv. 2015
Merci de ta visite. Je suis d'accord avec toi. Je ne chasse plus depuis 1995. Autant j'ai aimé la chasse autant je ne suis plus capable de tuer quelque gibier que ce soit. J'essaie de les photographier.
Je dois dire que la très grande majorité des chasseurs d'ici respectent énormément les règles est sont respectueux des écosystèmes. Les quotas sont plus réalistes qu'avant. Un orignal par 3 ou 4 chasseurs annuellement et durant une période de 7 à 14 jours, selon les régions. Certains secteurs, seul la chasse à l'arc est permise, obligeant le chasseur à s'approcher le plus possible, ce qui, pour un orignal en temps de rut est extrêmement difficile. Où je ne comprend pas, c'est la chasse à l'ours. Une viande parasitée dont personne ne mange ! J'interdirais ce type de chasse.
Pour certaines espèces, la chasse sert de régulateur. La population de chevreuil est dramatiquement élevée, ce qui peut entrainer des épidémies et de la malnutrition en hiver parmi leur population et une recrudescence des populations de coyotes, sans compter la grande quantité de décès de personnes sur les routes qui impactent un chevreuil. Enfin, ça prend un équilibre dans tout