Sujet d'aide : Charte de la photo animalière
1) La photo d'oiseaux au nid, c'est facile, ça donne des images émouvantes, ce n'est hélas pas sans danger pour les couvées, surtout si le photographe manque d’expérience, de connaissance de l'espèce et des techniques d'affûts.
Je m'abstiens de publier des photos d'oiseaux au nid, cette activité, même bien menée, risque de donner à de nombreux photographes non avertis, l'envie de faire de même, menaçant ainsi de nombreuses nichées. La mise en ligne de photos sur Internet a fortement augmentée la diffusion de ces pratiques et aussi hélas leurs nuisances.
2) Je me renseigne et me documente sur les espèces que je souhaite photographier et ne met en place mes affûts et mes approches qu'après avoir acquis l'assurance de déranger le moins possible.
3) Je me comporte dans la nature comme un invité, je veille à la laisser en bon état, je me rappelle que la diversité de la nature européenne est en grande partie liée à des pratiques agricoles traditionnelles. Ces paysages ne survivent que si l'homme les entretient. Les prairies doivent être fauchées et les vergers à hautes tiges taillées ; c'est en respectant ce travail, en ne piétinant pas les herbes hautes, en refermant les clôtures des parcours que je permets le maintien de cette diversité.
4) Consommateur des beautés de la nature, je m'investis de temps en temps dans sa préservation.
La participation à des chantiers bénévoles d'entretien ou de " renaturation " de sites abritant des espèces prestigieuses, organisés par les associations de conservation est une manière de rendre à la nature un peu de ce que mon reflex lui emprunte.
Et n'oublions pas qu'aucune photo, aussi belle soit-elle ne vaut la mort d'un oisillon, l'abandon d'un jeune animal ou la destruction d'une plante.
Je m'abstiens de publier des photos d'oiseaux au nid, cette activité, même bien menée, risque de donner à de nombreux photographes non avertis, l'envie de faire de même, menaçant ainsi de nombreuses nichées. La mise en ligne de photos sur Internet a fortement augmentée la diffusion de ces pratiques et aussi hélas leurs nuisances.
2) Je me renseigne et me documente sur les espèces que je souhaite photographier et ne met en place mes affûts et mes approches qu'après avoir acquis l'assurance de déranger le moins possible.
3) Je me comporte dans la nature comme un invité, je veille à la laisser en bon état, je me rappelle que la diversité de la nature européenne est en grande partie liée à des pratiques agricoles traditionnelles. Ces paysages ne survivent que si l'homme les entretient. Les prairies doivent être fauchées et les vergers à hautes tiges taillées ; c'est en respectant ce travail, en ne piétinant pas les herbes hautes, en refermant les clôtures des parcours que je permets le maintien de cette diversité.
4) Consommateur des beautés de la nature, je m'investis de temps en temps dans sa préservation.
La participation à des chantiers bénévoles d'entretien ou de " renaturation " de sites abritant des espèces prestigieuses, organisés par les associations de conservation est une manière de rendre à la nature un peu de ce que mon reflex lui emprunte.
Et n'oublions pas qu'aucune photo, aussi belle soit-elle ne vaut la mort d'un oisillon, l'abandon d'un jeune animal ou la destruction d'une plante.
